Depuis leur accession au pouvoir dans leurs pays respectifs, Assimi Goïta, Mamadi Doumbouya, Paul-Henri Sandaogo Damiba se sont érigés telles des voix qui dissonent au sein de la CEDEAO. Un fait qui pousse notre rédaction à s’interroger : les trois militaires veulent-ils changer le mode de fonctionnement de l’institution ouest-africaine ?

Selon plusieurs politologues, Assimi Goïta, Mamadi Doumbouya et Paul-Henri Sandaogo Damiba souhaite une CEDEAO des peuples.

En effet, dans leurs rapports avec les autorités des transitions au Mali, en Guinée et au Burkina-Faso, les Chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation sous-régionale sont critiqués et accusés par une grande majorité de l’opinion, de faire les affaires de la France.

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