La chirurgie esthétique est en vogue dans le monde et en Afrique, c’est devenue la mode. Le secteur est en plein essor. La chirurgie esthétique explose sur le continent, et de plus en plus d’africains n’hésitent plus à passer sous le bistouri, malgré les risques que cette pratique comporte.

 

Liposuccion, implants mammaires, rajeunissement du visage, lifting des fesses, le continent africain est de plus en plus demandeur. Malgré les tabous et les dangers autour de cette pratique, plus besoin de sortir du continent avant de se faire opérer. l’Afrique abrite désormais des cliniques spécialisées dans le domaine.

Les destinations les plus connues auparavant pour de telles interventions en Afrique sont  le Maroc, la Tunisie et l’Afrique du Sud. Aujourd’hui, avec la banalisation de la pratique, l’Afrique noire devient une destination idéale pour la chirurgie esthétique. C’est le cas du Nigéria, du Sénégal et du Cameroun qui commencent par s’affirmer comme d’éventuelles destinations africaines pour le tourisme médical.

L’Algérie aussi s’est jetée dans la course des interventions chirurgicale esthétique. Les cliniques de chirurgie esthétique ne cessent d’y croitre, et les spécialistes envisagent de faire du pays une destination pour le touristique esthétique.

Il est bien beau de vouloir être bien dans sa peau, mais à quel prix? Comme toutes choses, la chirurgie esthétique comporte des risques et il faudrait en parler.

Que ce soit physique ou psychologique, les risques ne sont pas moindres. Les personnes qui s’adonnent à la chirurgie esthétique s’exposent à beaucoup de dangers. En premier lieu, on pourrait parler des malaises postopératoires dans la région opérée. Ce qui peut engendrer des infections , des déformations et bien d’autres. Le degré de la douleur est d’ailleurs imprévisible. Les risques anesthésiques peuvent être la source de beaucoup de problèmes de santé et même la mort.

Des interventions ratées de la chirurgie esthétique peuvent engendrer des séquelles psychologiques sur les patients telles que des regrets, des déceptions pouvant toutefois conduire à la dépression  ou au suicide.

Malgré ces dangers, l’on pourrait toutefois se demander ce qui amène de plus en plus de jeunes femmes et de jeunes hommes à recourir à cette pratique. A croire que l’état naturel de l’être humain fait honte maintenant.

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